les Cévennes et l'Hérault en 250cc (suite et fin)
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Lorsque tu voyages et que ta journée a été remplie (de belles routes, de merveilleux endroits, certains qui font la surprise même) et bien quand vient le soir il se passe quelque chose de bizarre : on se languit d'être demain !
Et bien ça tombe bien, on est le lendemain et l'étape du jour est :
et ça commence bien, à peine sorti du camping que voilà le pont et la chapelle d'Issensac
reste plus qu'a poursuivre jusqu'à Saint Guilhem le Desert
Nous y voilà :
On repart, longeant encore l'Hérault, direction le lac du Salagou
il fait chaud et les quelques arbres présents sont une bénédiction
Puis un peu de chemin (mais pas que !) pour aller vers Olargues
Très bel endroit... mais il faut déjà repartir vers Roquebrun
On se pose au camping du village et on va visiter
le lendemain, on est qu'à quelque encablures de Narbonne, ce n'est plus l'Hérault certe mais c'est dommage de passer à côté
Donc grosse journée, on démarre par Narbonne
Puis dans le centre ville on apperçoit un panneau indiquant "Narbonne plage"... Alors on suit
C'est pas tout ça mais le sujet c'était un peu l'Hérault, donc on y retourne direction Sérignan
Fin de journée.
Le lendemain on se met sur le retour :
Petit "pimousse" est en grande forme, et on revient sur les petites routes tortueuses cévennoles
On trouve toujours un petit coin accueillant pour la pause de midi !
Sur ces petites routes, pas besoins d'un gros bolide mais plutôt d'un deux roues petit et agile pour profiter à fond des paysages...
On finit cette partie cévennole vers Génolhac pour gravir le col du pré de la Dame
Ainsi s'achève ce petit périple. On redécouvre les Cévennes, on a pris une claque dans l'Hérault tant le département regorge de trésors et combien il est loin de ce qu'on imaginait au départ, à savoir de belles plages... et non il y a une vrai diversité et à moto, on ne peut pas s'ennuyer ici, c'est pas possible !
Les 250cc se sont avérées plaisantes dans ce voyage et l'envie d'aller plus loin avec elles se fait sentir !
C'est décidé : malgré leur performances modestes, on les prend cet été.